MAGAZINE DE LA VILLE DE MASSY | NOVEMBRE 2023

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Salon départemental
des mini-entreprises
Dans le cadre du partenariat avec E.P.A, 9 étudiants en 1ere année de BTS SAM ont créé TOP BAG, un sac rempli au top.
Le 7 avril, ils participaient au Salon départemental des mini-entreprises de l’Essonne et ils ont remporté le prix « Coup de cœur ».
Un article dans la presse locale en parle :
Intervention de l’AFAJE
AFAJE | 21.10.2021
Ce mercredi 20 octobre, l’AFAJE est intervenue au lycée Parc de Vilgénis de Massy auprès de 2 classes de Terminale de 2 filières industrielles : Bac Pro Systèmes Numériques, et Bac Pro MIC (microtechniques)
Nous félicitons les élèves et les enseignants pour la préparation de cette intervention en amont qui a permis un véritable échange avec de très nombreuses questions et un véritable engouement de chacun sur les notions de création d’entreprise.
Ce sont donc 45 élèves qui ont pu se projeter dans un avenir entrepreneurial ou encore dans leur poursuite d’études.
Encore merci aux équipes pédagogiques du lycée pour leur investissement, et à ces 2 classes pour leur sympathie !

Essonne : des élèves du lycée Parc-de-Vilgénis se penchent sur la qualité de l’air à Massy
LE PARISIEN | 03.01.2020
Dans le cadre de l’atelier scientifique Vilgénis, des élèves de seconde, première et terminale mettent au point « pollubike », un boîtier qui mesure les particules fines.
Le Lycée du Parc de Vilgénis de Massy (91)
bouscule les codes du rugby !

Un lycée de Massy enterre une capsule temporelle
Les élèves du lycée Parc de Vilgénis, à Massy (Essonne), ont enterré un silo en béton de 2 mètres de profondeur rempli d’objets du quotidien. Consigne : « Ne pas ouvrir avant 2067. »
LE MONDE | 23.06.2018
A quoi ressembleront les lycéens en 2067 ? A quoi rêveront-ils dans cinquante ans, de quoi auront-ils peur ? Les élèves du lycée Parc de Vilgénis, à Massy (Essonne), ont eu l’occasion de se poser la question, depuis que l’idée d’enterrer une capsule temporelle dans le parc de l’établissement a germé dans l’esprit d’un professeur de lettres et d’histoire, Baptiste Pujol. Il faudra pourtant se résoudre à ne jamais satisfaire cette curiosité : « C’est un dialogue à sens unique. La réponse se trouve de l’autre côté », conclut l’enseignant au micro.
Une trentaine d’élèves et de professeurs sont rassemblés, vendredi 22 juin, pour cette « célébration mémorielle » un brin insolite. Ils encerclent un silo en béton de 2 mètres de profondeur, enfoui presque entièrement dans le sol. Une plaque vissée sur le couvercle intime l’ordre suivant : « Ne pas ouvrir avant 2067. » La terre battue devrait voir repousser de l’herbe, mais il est prévu que la cachette reste toujours visible. Sage décision, quand on sait que de nombreuses capsules temporelles ne sont jamais retrouvées. Elles peuvent alors alimenter tous les fantasmes, notamment aux Etats-Unis où l’enfouissement de souvenirs est devenu une tradition au tournant du XXe siècle.
Tampon buvard
Quelques minutes plus tard, les élèves y font descendre les objets du quotidien choisis par chaque classe. En 2067, on retrouvera donc dans la pelouse du lycée Vilgénis des journaux de tous bords – par « souci de représentativité ». Mais aussi une ancienne gazette du lycée, exhumée dans le bureau de la proviseure, au titre plutôt inspiré : Mammouth, le journal qui dégraisse. Date de parution : 1998. L’histoire ne dit pas si cette publication a survécu au mandat de Claude Allègre, l’auteur de la célèbre injonction à « dégraisser le mammouth », qui quitta ses fonctions de ministre de l’éducation deux ans plus tard.
Baptiste Pujol brandit ensuite divers symboles du monde actuel : un pot de Nutella vide, « avec l’espoir que l’huile de palme aura disparu de notre alimentation dans cinquante ans », une pièce de 2 euros, « témoin de nos interrogations sur le futur de la monnaie unique ». Mais il y aura aussi les résultats du premier concours de nouvelles jamais organisé à Vilgénis, sur le thème « Imaginez le monde en 2067 ». Les dix candidats ont vu leurs œuvres éditées et imprimées dans un petit livret.
Un élève, décidé à « troller les gens de 2067 » (un verbe qui désigne le fait de harceler quelqu’un sur un réseau social), y a également glissé des vestiges d’une époque déjà révolue, pour brouiller les pistes : un tampon buvard, l’un de ces atroces stylos raccordés à un support par une chaînette, que l’on n’utilise guère plus qu’au guichet de la poste, et une cassette vidéo d’un enregistrement de 1993 du Bébête Show. C’est son professeur d’histoire, Florent Marcuzzi, qui relate cette gentille subversion, sourire aux lèvres. Nous convenons ensemble que l’idéal serait de pouvoir glisser dans la capsule, avant sa fermeture définitive, le lendemain, un exemplaire du Monde paru le même jour. Avec, en page 9, une surprise pour les élèves de 2067.